On peut souffrir d’un défaut physique réel, en être gêné, mais vivre avec. On peut aussi recourir à la chirurgie esthétique et s’en débarrasser. Mais quand on est obsédé par un défaut qui n’existe pas, un défaut que personne d’autre ne voit et qui empêche de vivre, quelles sont les solutions ? Ce type de préoccupation pathologique pour un défaut imaginaire conduit tous les ans des milliers de femmes, mais aussi d’hommes, à consulter et à multiplier des traitements médicaux ou chirurgicaux parfaitement inefficaces puisque sans objet… Pourquoi ces errements ? Comment sortir de cette obsession ?